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chroniques-d-une-marathonienne-bretonne.com

Maman et runneuse. J'ai repris sérieusement la course à pied fin 2016. Mes premières courses officielles se sont déroulées en 2017, dont un marathon. J'ai bouclé mon deuxième marathon en mai 2018. Mon challenge: basculer vers l'ultra running Mon premier ebook, témoignage de mes premières courses est ici: https://www.bod.fr/librairie/parce-quaucun-reve-nest-trop-grand-ludivine-brodier-9782322204038

Let's go vers le marathon de la Transléonarde

Et voilà le dernier déroulé de kms avant le marathon de dimanche est accompli.

Ce n'est jamais simple de déterminer à quel moment le faire. Beaucoup préconisent une petite sortie rapide de ce type, voir sensiblement moins la veille. Toutefois, à titre personnel, je ne suis pas fan d'une activité une veille de marathon, ou course longue distance. 

Après, cela vient également de ma fragilité au talon droit, présente depuis octobre 2017 (l'effet kiss-cool de ma première grande médaille incrusté :D).

Avec celle-ci, une journée complète sans activité spécifique n'est pas de trop (ou alors du stretching, des étirements, des choses du genre, très soft et sans impact sur les jambes).

Octobre 2017 : mon premier marathon, j'étais moyennement préparée mais j'ai tenu bon: 38/39 kms de course non stop jusqu'à ce que les chevilles et talons disent stop, donc alternance course et marche sur la fin.

Mai 2018: deuxième marathon: Préparation au top, en forme, hyper motivée. Au final, dès le 29ème, j'ai senti que çà ne le ferait pas. Après avoir vu plusieurs personnes au sol, là, tu te dis, OK, soyons raisonnable, l'alternance course et marche va commencer au trentième. Pas très glorieux, mais au moins, j'ai fini sans trop de casse et j'ai pu reprendre très vite l'entrainement sans bob.

Septembre 2018 : Départ du 100 kms. Je ne me fais guère d'illusions, la barrière horaire de 14 heures étant bien trop légère pour mon niveau. Contre toute attente, je déclenche un syndrôme de l'essuie-glace sorti de nulle part. Ok, ok. Je garde un très bon souvenir malgré l'arrêt à 45 kms (je pouvais poursuivre mais seulement en marchant, il n'y avait guère d'intérêt même en marchant à rythme soutenu). 

Octobre 2018: j'avais le dossard donc je tente un 3ème marathon (à domicile). Arrêt au semi, la jambe est complètement explosée du fait de l'essuie-glace. Il faisait 2 degrés au départ et du soleil. Autant vous dire qu'en adepte du froid sec, je l'ai vraiment eu mauvaise...

23 juin 2019 : est-ce l'heure de renouer avec le rang de finisher? J'espère, mais ma conviction demeure faible. Déjà j'ai d'autres choses en tête qui ne seront pas résolues d'ici le départ, ma prépa est bien trop légère et la météo ne joue pas en ma faveur : tiédeur humide (rappel, j'aime le grand froid sec et ensoleillé...faut il être fou dans ces conditions pour s'inscrire à une course dans le Finistère me direz-vous :D).

Verdict bientôt :)

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